Hubbard, 43 ans, est née homme et a pris part à des compétitions dans les catégories masculines avant d’entamer un processus de Transition pour devenir unae femme verses ses 30 ans.

Elle est devenue seleccionable chez les femmes après avoir satisfait aux critères du Comité international olympique (CIO) concernant les sportifs transgenres.

Sa Qualification pour les JO fait d’elle la première femme ouvertement transgenre à compétitionner dans cet événement planétaire, d’après le director de informaciónComité Olimpico Internacionalqui a salue un momento histórico para el movimiento olímpico.

Laurel Hubbard está une femme et concourt selon les règles de sa federation. Nous devons rendre homenaje a son coraje et a sa tenacitéaclaró a la prensa en Tokio le directeur medical du CIO Richard Budgett.

Toutefois, sa presencia en la categoría des femmes de plus de 87 kg un debate provocado y complejo sobre las cuestiones de la bioética, los derechos de la persona, la ciencia, la equidad y la identidad en el deporte.

Les supporteurs de Hubbard estiman que sa cualificación para les JO representan una victoria para la inclusión y los derechos de las personas transgéneros.

D’autres jugent qu’elle benéficie d’un avantage inéquitable sur ses rivales females en raison de capacités physiques héritées de décennies en tant qu’homme.

Le statut du sport feminin en cause

Le debate sur ce sujet est intenso et parfois passionné, notamment sur Internet, ce qui a poussé le Comité olympique neo-Zélandais à prendre des mesures pour protéger Hubbard des trolls des réseaux sociaux.

Le director de informaciónComité Olimpico Internacional reconnaît néanmoins que la présence de Hubbard soulève des questiones légitimes quant à savoir si l’athlète a – selon le jergon qu’utilise l’instance sur ces questiones – un ventaja competitiva desproporcionada.

Certains défenseurs du sport féminin, dont l’ancienne championne de tennis Martina Navratilova, no expresó leurs réserves, car ils estiment que l’inclusion de sportifs transgenres risque de remettre en cause les victoires obtenues of haute lutte pour améliorer le statut du sport féminin.

Je suis heureuse de m’adresser à une personne transgenre de la manière qu’elle le souhaite, mais je n’aimerais pas avoir à concourir contre elle. Ce ne serait pas justedeclaró l’Américaine, militante de la première heure des droits des homosexuals.

Pour Caitlyn Jenner, campeona olympique de decathlon aux Jeux de Montréal en 1976 y luego mujer en 2015, ce n’est tout simplement pas juste.

Les opositores craignent également que la participación de femmes transgenres met en péril la securité des autres concurrentes dans les sports of connections, ce qui a incité la Fédération Internationale de rugby à les à les excluyéndoles toutes compétitions l’an dernier.

Signe des Dissensions sur la Question, ciertas federaciones nacionales, como la de Rugby de Nueva Zelanda, no autorizan la participación de mujeres transgénero en niveau amateur.

Para justificar la decisión, World Rugby a cité des études scientifiques demontrant que les hommes disponible 30% de force physique de plus par rapport aux femmes.

Parmi d’autres avantages, Alison Heather, fisióloga de la Université d’Otago interrogée par l’AFP, cite des membres plus longs pour les hommes, une masse musculaire plus importante, un coeur plus large et une capacité pulmonaire plus grande, qui Permet una mejor circulación de l’oxygen y una gran resistencia.

Pour Richard Budgett, il n’est pass si simple de comparer les hommes et les femmes, et les femmes transgenres peuvent avoir une baisse de performance lorsqu’elles passent par un processus de Transition.

Manque de données

Il estime surtout que des researches complementaires sont nécessaires. Considérez qu’il n’y a pas eu de femmes ouvertement transgenres au plus haut niveau jusqu’à present. Je pense que le risque pour le sport female a probablement été surestiméajoute-t-il.

Le CIO reconoce que le nouveau cadre, qui fournit de simplesdirectives pour les federations internationales plutôt que des règles strictes, ne constitue pas le dernier mot sur ce sujet, qui va continuer long temps à être débattu.

Il doit y avoir un juste milieu pour obtenir ce dont nous avons besoin et, quel que soit ce juste milieu, il sera probablement critiqué par Certains. Ce ne sera pas la solution ultimateun declarado le porte-parole du CIO Christian Klaue.